Ephéméride terroriste du 31 janvier

31 janvier 1996, en Algérie, deux bombes, l'une à Baraki près d'Alger, l'autre à Khemis El Khechna près de Boumerdès, font une quinzaine de morts.


​31 janvier 2007, en Irak, 8 civils sont tués et 21 blessés à Bagdad, lors des explosions de 3 voitures piégées. De plus, 4 habitants du quartier sunnite d'Adhamiyah sont tués et 20 blessés par des obus de mortier. Les corps de quatre universitaires, enlevés le 28, sont retrouvés, assassinés. A Ezzi (environ 100 km au nord-est de Bagdad), un camion citerne conduit par un kamikaze explose, blessant 12 soldats dont 6 grièvement. A Mossoul, une voiture piégée explose au passage d'une patrouille de police, tuant un policier et en blessant trois autres. A Kirkouk, une bombe explose au passage d'une patrouille de l'armée irakienne, tuant un soldat et en blessant deux autres. A Saouira, 4 policiers sont blessés par l'explosion d'une bombe. Les corps de trois personnes non identifiées, tuées par balles, sont aussi découverts.


​31 janvier 2014, Boko Haram tue un pasteur et 10 fidèles à Chakawa au Nigeria.


​31 janvier 2015, l'EI annonce avoir exécuté son deuxième otage japonais, Kenji Gotō, un journaliste de 47 ans enlevé en octobre.


​31 janvier 2016, au moins 70 personnes sont tuées et près de 110 blessés en Syrie dans une triple explosion près du sanctuaire chiite de Sayeda Zeinab au sud de Damas. L'État islamique revendique l'attentat.


​31 janvier 2016, au Nigeria, une attaque de Boko Haram fait au moins 85 morts dans un village proche de Maiduguri.


​31 janvier 2016, au Tchad à Miterine, un village du lac Tchad, un kamikaze de Boko Haram fait 2 morts et 24 blessés. Le même jour à Guié, un autre village du lac Tchad, un autre kamikaze à moto tue au moins une personne et fait 32 blessés.