Mur entre 2 mers et fausse conversion de Cousteau

« Pour convertir, les religieux reculent devant rien quitte à se servir du mensonge.

 

La conversion de Cousteau est une intox qui a été démenti par La Société Cousteau fondée par Jacques-Yves Cousteau

 

C’est image représente l’eau saumâtre, du Mississippi et non la rencontre entre deux mers. 


"Deux océans se rencontrent mais ne se mélangent pas !" : que montre vraiment cette vidéo ?


En ce qui concerne le mélange de l’eau douce et de l’eau salée, dans son encyclopédie, Jean-Yves Cousteau explique comment elles se mélangent, plus ou moins rapidement, en fonction de la turbulence. Le Coran (25:53), quant à lui, se trompe et parle d'une barrière infranchissable - il ne s’agit donc nullement d’un miracle coranique ! 


Voyons comment les apologistes tentent de faire passer cette image détournée pour un miracle scientifique du Coran. 


Coran 25.53 « Et c'est Lui qui donne libre cours aux deux mers : l'une douce, rafraîchissante, l'autre salée, amère. Et Il assigne entre les deux une zone intermédiaire et un barrage infranchissable. »


1. primo, des mers d'eau douce, ça n'existe pas ; 


2. deuxio, là ou une masse d'eau douce rencontre une masse d'eau salée (par exemple à l'estuaire des fleuves), elles se mélangent toujours ; et 


3. tertio, il n'y a jamais eu, entre de telles masses, de barrière infranchissable. Les bateaux, les nageurs et les animaux marins passent sans le moindre problème de l'une à l'autre (les animaux marins ne le font pas beaucoup parce que, dans la plupart des cas, leur organisme est adapté soit à la vie en eau salée,


Inversement le Coran parle du non mélange des eaux et de la barrière infranchissable (25:53, 35:12, 55:19-20), il n'est pas question, par exemple, des fleuves se jetant dans la mer, ou de sources situées en dessous du niveau de la mer (ça existe aussi) mais de deux mers, dont l'une serait d'eau douce.


Lorsqu’il parle de mers au pluriel, dans les passages susdits comme dans d'autres qui ne traitent pas explicitement du fait que leurs eaux ne se mélangeraient pas (18:60, 27:61), il dit toujours « les deux mers » . Apparemment, son auteur ignorait qu'il y avait plus de deux mers sur Terre. Pour un auteur omniscient et créateur de toutes choses, c'est ballot. » 


Michka Koguma