Ephéméride terroriste du 10 février

10 février 2004, en Irak, un attentat-suicide devant un commissariat de police d'Iskandariyah, au sud de Bagdad, fait 55 morts et 67 blessés.


10 février 2009, en Afghanistan, attentat-suicide dans la province de Khost, qui tue 2 soldats ; plus de 100 personnes ont trouvé la mort dans les conflits et insurgences liés aux talibans depuis le début de l'année en  Afghanistan.


10 février 2010, 19 policiers sont tués lors d'un attentat suicide d'islamistes pakistanais contre une patrouille dans l'agence de Khyber.


10 février 2012, à Alep en Syrie, un double attentat à la voiture piégé frappe un bâtiment de la sécurité militaire et un siège des forces de l'ordre. L'attaque est revendiquée par le Front al-Nosra ; elle fait 28 morts et plus de 230 blessés.


10 février 2013, un deuxième kamikaze du MUJAO explose à Gao au Mali sans faire de victime.


10 février 2014, dans un camp d'entraînement clandestin de djihadistes sunnites près de Samarra en Irak, un exercice de formation aux attentats provoque une explosion accidentelle, faisant au moins 21 tués et 15 blessés parmi les djihadistes.


10 février 2016 au Cameroun à Nguetchewe, 6 à 9 civils sont tués par deux kamikazes, et 30 à 50 blessés, tandis que d'autres membres de Boko Haram attaquent le village Idoua situé à quelques encablures de Tourou dans le département du Mayo Tsanaga. Ils pillent les villageois, incendient trois églises et des maisons, et tuent sept des villageois qui tentaient de s‘opposer à eux, avant de fuir.


10 février 2017, au moins 10 personnes sont tuées et 33 autres blessées dans plusieurs attentats suicides à Bagdad et Mossoul. L'organisation Etat islamique (EI), à laquelle l'armée irakienne, soutenue par des forces américaines, a récemment repris toute la partie orientale de Mossoul, a revendiqué ces attaques dans des communiqués publiés sur internet.


10 février 2017, sept ou huit soldats nigérians sont tués dans une embuscade de Boko Haram au village d'Ajirin, près de Dikwa.


10 février 2017, les autorités françaises déjouent un projet d'attentat "imminent" après l'arrestation de quatre personnes à Montpellier, dont une fille de 16 ans. Plusieurs dizaines de grammes de TATP ont été retrouvés dans le domicile d'un des suspects.


10 février 2019, un homme de 35 ans connu par les forces de l'ordre pour sa radicalisation est arrêté à Saint-Denis. Récemment sorti de prison, il est arrêté pour détention d'armes à feu.