Ephéméride terroriste du 24 février

24 février 1997, aux États-Unis, une fusillade d'un Palestinien de 69 ans près de l'Empire State Building à New York fait un mort et six blessés.


24 février 2014, au Nigeria à Potiskum, une bombe explose dans un bus à la gare de Tashar Dan-Borno, faisant au moins 17 morts et 27 blessés. Le même jour à Kano deux autres kamikazes font 10 à 34 morts dans une gare routière également. Le nord-est du Nigeria se retrouve en proie aux tueries du groupe islamiste Boko Haram, à cinq semaines à peine des élections générales du 28 mars.


24 février 2015, au Nigeria, un double attentat-suicide perpétré dans une gare routière de Kano, la grande ville du nord du Nigeria en proie aux tueries du groupe islamiste Boko Haram, fait 34 morts, à cinq semaines à peine des élections générales du 28 mars.


24 février 2015, un double attentat à la bombe fait au moins 22 morts et 43 blessés dans le quartier de Jisr Diyala à Bagdad, pendant la sortie d'un match de football. Les attentats étaient pourtant moins fréquents depuis quelques mois, alors que les forces antidjihadistes avaient enregistré des avancées face à l'Etat islamique, qui contrôle des zones du nord et de l'ouest de l'Irak.


24 février 2017, à Soussiane en Syrie, un véhicule piégé conduit par un kamikaze explose au milieu de civils et de rebelles à un poste de contrôle de l'Armée syrienne libre ; l'attaque fait au moins 83 morts, dont 45 civils. L’attentat a été revendiqué par l’EI dans un communiqué sur internet.


24 février 2017, une voiture piégée de Daesh explose près de Trebil à environ 500 km à l'ouest de Bagdad, près de la Jordanie, tuant 15 gardes frontières irakiens.


24 février 2018, une série d'attentats menés par les Taliban en Afghanistan font au moins 23 morts et une vingtaine de blessés. L'une des attaques est dirigée contre une base militaire, située à Farâh, dans l'ouest de l'Afghanistan.


24 février 2019, deux kamikazes au volant de véhicules piégés se font exploser à l'entrée du camp militaire de Koulikoro au Mali, blessant deux militaires et un civil maliens. L'attaque est revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans.