Ephéméride terroriste du 2 janvier

2-3 janvier 1998, massacre de Ramka, durant la guerre civile algérienne, dans trois villages de la wilaya de Relizane, au cours duquel environ 1 000 personnes sont égorgées dans la nuit par le Groupe islamique armé.


​2 janvier 2000, 21 chrétiens, dont 4 enfants, sont tués lors d'émeutes sectaires à Al Kosheh en Egypte.


​2 janvier 2005, en Irak, un attentat à la voiture piégée à Balad fait 19 morts dont 18 Gardes Nationaux.


​2 janvier 2008, en Algérie, attentat suicide d'Al-Qaïda à proximité d'un commissariat de Naciria (4 policiers tués).


​2 janvier 2015, au Cameroun, Boko Haram attaque un bus dans la région de Waza, tue 15 personnes et blesse 10 personnes.


​2 janvier 2015, au Nigeria, un groupe de militants de Boko Haram entre dans la ville de Malari et appele les gens hors de leurs maisons pour écouter un sermon. Ils séparent ensuite les garçons et les jeunes hommes du groupe de personnes et les enlèvent.


​2 janvier 2016, une base militaire est attaquée en Inde près de la frontière avec le Pakistan, à Pathankot. Les assaillants du groupe islamiste Jaish-e-Mohammed tuent au moins 11 personnes avant d'être neutralisés.


​2 janvier 2017, un attentat-suicide à la voiture piégée dans une place du quartier chiite de Sadr City à Bagdad fait 32 morts et 61 blessés. Une autre attaque a lieu près de l'hôpital de Jawadir et cause 11 morts. Une troisième tue sept personnes près de l'hôpital de Kendi. Elles sont revendiquées par l'État Islamique.


​2 janvier 2017, des hommes armés de l'EI portant des gilets de suicide attaquent deux postes de police dans la ville de Samarra en Irak, tuant au moins sept policiers.


​2 janvier 2017, un attentat-suicide en Somalie fait 3 morts à Mogadiscio ; le siège de l'Amisom était visé. Il s'agit d'un acte des islamistes shebab.