2 mars 2004, quatre explosions détruisent le parvis de la mosquée chiite de Kadhimiya, lors de la fête de l'Achoura. À Kerbala, des tirs de roquettes sont lancés contre le mausolée d'Abbas. Le bilan de ces opérations est lourd : 171 morts, 556 blessés. La communauté chiite d’Irak accuse Al-Qaïda.
2 mars 2011, devant l'aéroport de Francfort, Arid Uka, musulman d'origine kosovare, tire sur un car transportant des soldats américains (2 morts et 2 blessés).
2 mars 2014, au Nigeria, massacre de Mafa ; 29 habitants sont tués dans l'attaque de la localité par les islamistes.
2-19 mars 2015, les djihadistes de Boko Haram brûlent puis abandonnent la ville de Bama devant l'avancée de l'armée nigériane. Avant de partir, les combattants massacrent leurs femmes, généralement mariées de force, dans le but selon des témoins, qu'elles restent « pures » et ne se remarient pas avec des « infidèles » et ce « jusqu'à ce qu'ils se retrouvent au paradis ». Le massacre fait au moins plusieurs dizaines de victimes et aurait été ordonné par un chef du groupe, certains combattants auraient cependant refusé d'obéir.
2 mars 2015, au Niger, sur le Lac Tchad, les djihadistes attaquent des villages insulaires ; au moins 19 habitants sont tués.
2 mars 2016, à al-Achi, un village du gouvernorat syrien de Kuneitra, au moins 18 rebelles du Front révolutionnaire syrien, dont quatre chefs, sont tués dans un attentat à la voiture piégée. Le FRS est soutenu par les pays occidentaux et des pays arabes, notamment la Jordanie toute proche. Il avait participé avec d'autres rebelles, il y a un an, aux combats pour chasser les extrémistes du groupe Etat islamique (EI) de la province.
2 mars 2018, une double attaque au Burkina Faso vise l’ambassade de France et le Camp Guillaume, siège de l'état major des armées burkinabés à Ouagadougou, faisant 8 morts et plus de 80 blessés. Les attaques de groupes djihadistes contre des représentants de l’Etat (gendarmeries, écoles notamment) sont régulières dans le nord du pays.